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Je vous aime, triptyque photo, extrait de la série Arles
© Didier
Frouin-Guillery, 2018
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lundi 16 juillet 2018
mercredi 11 juillet 2018
Bille en tête
dimanche 24 juin 2018
Apparition
lundi 18 juin 2018
samedi 9 juin 2018
Serial collector - Le générique de fin
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L’Imagerie © Didier Frouin-Guillery, 2018 |
Fin de l’exposition SERIAL COLLECTOR
Didier Frouin-Guillery remercie tout particulièrement
- Son partenaire et complice privilégié en photographie, son
fils Adrien, avec qui il poursuit une correspondance photographique.
- Ses ami-e-s qui l’ont assisté à l’atelier
dans la préparation de l’exposition : Michèle Duloutre, Dominique Labory,
Marie-Hélène Maguet-Chiozzotto, Régine Rocuet, Patrick Evanno et Jean-Paul
Mathelier.
- Solenn Rousseau directrice artistique de
l’association Gros Plan et du cinéma Quai Dupleix à Quimper, pour sa
complicité en images.
- Le Musée
départemental breton du Finistère, Jean-Pierre Gonidec et Serge Goarin pour ses prises de vue
d’images et d’objets en studio.
- Chantal et Gilbert Samson de l’entreprise
Quimper Enseigne partenaire et soutien de
l’artiste depuis 2003.
- Jean-François Rospape et toute l’équipe
de L’Imagerie pour leur accueil chaleureux, leur grand soutien et leur tout aussi grande patience : Joëlle
André, Martine Desplanques, Florence Doutriaux, Monique Loarec, Daniel Collobert,
Jean-Marc Dellac, Daniel Hamon, Antoine Leblond, Michel Zapater, et Armand qui, entre deux cours
au collège, a participé au dessin des objets noirs ; remerciements aussi à
Alan L’Estimé, sollicité par L’Imagerie pour la réalisation de l’entretien vidéo.
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Et maintenant, à L’Imagerie, place aux 40èmes Estivales photographiques du Trégor avec 48 photographes et plus de 120 photographies.
Un hommage à la photographie et à tous les photographes accueillis à la galerie ; un hommage aussi à la passion et à la fidélité des bénévoles et de l’équipe qui ont accompagné l’aventure de L’Imagerie pendant ces 40 années.
Du 23 juin au 29 septembre 2018.
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Et maintenant, à L’Imagerie, place aux 40èmes Estivales photographiques du Trégor avec 48 photographes et plus de 120 photographies.
Un hommage à la photographie et à tous les photographes accueillis à la galerie ; un hommage aussi à la passion et à la fidélité des bénévoles et de l’équipe qui ont accompagné l’aventure de L’Imagerie pendant ces 40 années.
Du 23 juin au 29 septembre 2018.
vendredi 8 juin 2018
SC - Le kaléidoscope
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SERIAL COLLECTOR - L’Imagerie
Le kaléidoscope des détails
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ATELIER
"Choisir
en pensée des lieux distincts, se former des images des choses qu'on veut
retenir, puis ranger ces images dans les divers lieux. Alors l'ordre des lieux
conserve l'ordre des choses ; les images rappellent les choses
elles-mêmes."
Cicéron
ARTISTE
"Et
il n'est pas encore suffisant d'avoir des souvenirs. Il faut pouvoir les oublier,
quand ils sont nombreux, et il faut avoir la grande patience d'attendre qu'ils
reviennent. Car les souvenirs ne sont pas encore ce qu'il faut. Il faut d'abord
qu'ils se confondent avec notre sang, avec notre regard, avec notre geste, il
faut qu'ils perdent leurs noms."
Rainer Maria Rilke
DEMARCHE
"Comment
parler de ces choses communes, comment les traquer plutôt, comment les
débusquer, les arracher à la gangue dans laquelle elles restent engluées,
comment leur donner un sens, une langue : qu'elles parlent enfin de ce qui est,
de ce que nous sommes (...).
Il
m'importe peu que ces questions soient, ici, fragmentaires, à peine indicatives
d'une méthode, tout au plus d'un projet. Il m'importe beaucoup qu'elles
semblent triviales et futiles : c'est précisément ce qui les rend tout aussi,
sinon plus, essentielles que tant d'autres au travers desquelles nous avons
vainement tenté de capter notre vérité."
Georges Perec
TRACE
"Je
crois qu'il y a un sentiment familier de la poésie que j'appelle le sentiment
des touristes qui vont chercher très loin la poésie. Et la poésie qu'ils
trouvent, ils la connaissent d'avance. Il s'agit d'une poésie familière donnée
par des choses très étrangères. Alors que le familier, lui, peut être
l'occasion de découvrir la poésie qui n'est pas familière, la poésie
inconnue."
René Magritte
CARTE
"L'exotisme
essentiel est celui de l'Objet pour le sujet."
Victor Segalen
PHOTOGRAPHIE
"Une
photographie est un secret sur un secret. Plus elle vous en dit, moins vous en
savez."
Diane Arbus
dimanche 3 juin 2018
SC - La visite (12/12) - L'entretien vidéo
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SERIAL COLLECTOR – Filmage de l’entretien
par Alan L’Estimé, vidéaste et réalisateur
© D. Collobert - F. Aguillon - L’Imagerie, 2018 |
Lecture avec l’artiste de 7 des 11 chapitres
qui composent l’exposition (vidéo 13 min).
Serial collector condense symboliquement trois lieux : la galerie d’art, le musée personnel, et le “cabinet de curiosités”. Tel un grand livre d'images, l'exposition développe onze chapitres qui tracent dans l’espace une arborescence liant passé et histoire contemporaine. Elle met aussi en correspondance plusieurs étapes du parcours de l’artiste ces vingt-cinq dernières années, et combine plusieurs de ses moyens d’expression : la photographie, le dessin, l’assemblage, le collage, la vidéo.
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L’Imagerie © Didier Frouin-Guillery, 2018 |
Fin de la visite virtuelle de SERIAL COLLECTOR, avec cette photographie de l’intérieur d'une sculpture-tronc, cœur “arborescent” de l’exposition présent au chapitre 6 (Des yeux et des regards).
L'exposition se termine samedi 9 juin 2018.
L’artiste sera présent à L'Imagerie
ce dernier jour, de 15h à 18h30.
L’artiste sera présent à L'Imagerie
ce dernier jour, de 15h à 18h30.
jeudi 31 mai 2018
SC - La visite (11) Dernier chapitre
11. Un cabinet de dessins
Une peinture en couleurs et un ensemble de dessins réalisés d’un seul jet, au marqueur noir, constituent le témoignage d’une pratique de 40 années de dessin improvisé ou “automatique”. Ces dessins ne sont pas sans lien avec la forme projetée par les objets noirs sur le mur d’entrée de l’exposition.
D’une certaine manière, les trois grandes figures en papier noir au-dessus clôturent l’exposition. Elles sont dérivées des trois caractères chinois signifiant le mot ART.
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Les “invités” de l’artiste :
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Exposition SERIAL COLLECTOR
L’Imagerie © Didier
Frouin-Guillery, 2018
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Une peinture en couleurs et un ensemble de dessins réalisés d’un seul jet, au marqueur noir, constituent le témoignage d’une pratique de 40 années de dessin improvisé ou “automatique”. Ces dessins ne sont pas sans lien avec la forme projetée par les objets noirs sur le mur d’entrée de l’exposition.
Sur l’autre
mur de ce cabinet sont déroulés des extraits de maquettes des deux projets de
1% artistique réalisés par Didier Frouin-Guillery ces dernières années. Ces
réalisations sont installées de façon définitive et pérenne à la Réserve
départementale des musées du Finistère à Quimper, et à l’Ecole publique du
Pilier Rouge à Brest.
D’une certaine manière, les trois grandes figures en papier noir au-dessus clôturent l’exposition. Elles sont dérivées des trois caractères chinois signifiant le mot ART.
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Les “invités” de l’artiste :
-
Animaux rayonnés, tableau
d’histoire naturelle, Emile Deyrolle, Paris, années 20
-
Le Tromphal rayé, extrait de La Faune de Mars, Mœbius, 2006 - Page du
Guide des enfants de l’exposition Mœbius-Transe-Forme,
Fondation Cartier, Paris, 2010
-
Cartes
d’expositions, Guillaume Pinard, Roland Topor, Galerie Anne Barrault, Paris
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Extraits de publication des livres et des images
de l’artiste sous
les éditions singulier, multiple
Exposition SERIAL COLLECTOR L’Imagerie © Didier Frouin-Guillery, 2018 |
mercredi 30 mai 2018
SC - La visite (10)
10. Du déplacement et des voyages
Sur le mur contigu, sont dispersés des échantillons de collections d’images, d’objets et de photos familiales, ayant tous voyagé dans l’espace et le temps, du Maroc au Japon en passant par Madère. Ils entourent les deux derniers triptyques photographiques de l’exposition.
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Exposition SERIAL COLLECTOR
L’Imagerie © Didier
Frouin-Guillery, 2018
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Six
triptyques, ici consacrées à Arles et à Venise, composent un mur
purement photographique.
Sur le mur contigu, sont dispersés des échantillons de collections d’images, d’objets et de photos familiales, ayant tous voyagé dans l’espace et le temps, du Maroc au Japon en passant par Madère. Ils entourent les deux derniers triptyques photographiques de l’exposition.
Des sacs de
café sortis d’une collection du monde entier tapissent le mur voisin qui
reçoit ici le dernier vieux tableau scolaire Rossignol de l'exposition. Il met en
scène deux éléphants dans un décor de jungle d’image d’Epinal.
C’est aussi la
dernière étape de la figure de l’éléphant que l’on suit depuis le début de
l’exposition : croqué dans la gravure flamande inspirée de Bosch au
chapitre 3 ; poinçonné dans le poster rouge emprunté à l’artiste Félix
González-Torres sur le mur des yeux (chapitre 6) ; et objet touristique
empêtré dans un amas de lianes VHS dans l’espace de l’enfance et de la famille (chapitre
5).
Sept
sculptures ponctuent les principaux chapitres de ce grand livre d’histoires.
Dans cet espace du voyage, une ville
archéologique imaginaire, posée sur un grand socle blanc, vient clore le parcours de ces assemblages.
Elle
s’apparente à une ville africaine aux constructions de terre. Mais elle
fait plus certainement référence à la capitale inca de Cuzco, ville dont la
rigoureuse ordonnance carrée et symétrique s’organisait selon les quatre points
cardinaux. Ce dernier assemblage nous renvoie à l’histoire péruvienne qui est
en jeu au premier chapitre de l’exposition.
-
- -
Les
“invités” de l’artiste :
- Pérou-Maroc-Touriste en
bateau, patron de peinture (années 1950)
-
Carte de vœux, collage sur papier
Japon, Vera Székely, sculpteur, Janvry, 1994
-
Géoglyphe
du Pérou, dit Ligne de Nazca
-
MAROC, aquarelle de
couverture , Berthommé Saint-André – auteur J.-L. Miège, éditions B. Arthaud,
Paris, 1952
-
Noa Noa voyage de
Tahiti,
photographie de l’artiste dans l’exposition Gauguin
l’Alchimiste, Grand Palais - Galeries nationales, Paris, 2017
-
Planisphère
Colonies françaises,
carte n°22 bis, Paul Vidal de Lablache, Librairie Armand Colin, Paris, 1948
-
Pneu
Vélo, plaque publicitaire métallique Dunlop, années 1950
-
La Forêt vierge, tableau scolaire
d’élocution n°45, éditions André Rossignol, Montmorillon, 1953
mardi 29 mai 2018
SC - La visite (9)
9.
De la mémoire de nos visites d’expositions
Sur un mur de 5 m par 3, un damier de quatre cents cartons d’invitations, collectés sur plus de 30 années, questionne la mémoire de nos propres visites d’expositions.
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Exposition SERIAL COLLECTOR
L’Imagerie © Didier
Frouin-Guillery, 2018
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Sur un mur de 5 m par 3, un damier de quatre cents cartons d’invitations, collectés sur plus de 30 années, questionne la mémoire de nos propres visites d’expositions.
En
jouant librement de toutes sortes de correspondances, il déplie et compose un
grand poème visuel sous la forme d’un collage vagabond.
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