vendredi 27 octobre 2017

Stationner






Stationner, dessin numérique,
série des Nulle part
© Didier Frouin-Guillery, 2007-2017







mardi 24 octobre 2017

Grimper






Grimper, dessin numérique,
série des Nulle part
© Didier Frouin-Guillery, 2007-2017








vendredi 20 octobre 2017

Les supporters






Les supporters, diptyque photo,
© Didier Frouin-Guillery, 2017
 



Le sourire de la Joconde n'est pas fait pour les stades. 






mardi 17 octobre 2017

Silence






Silence, triptyque photo,
© Didier Frouin-Guillery, 2017
 



Ecouter la lumière, trouver le silence…
 
 
 
 
 
 
 

dimanche 15 octobre 2017

S'atteler




 
 
S’atteler, dessin numérique,
série des Nulle part
© Didier Frouin-Guillery, 2007-2017
 







vendredi 13 octobre 2017

Rebondir





 
 
Rebondir, dessin numérique,
série des Nulle part
© Didier Frouin-Guillery, 2007-2017
 






mercredi 11 octobre 2017

Regarder





 
 
Regarder, dessin numérique,
série des Nulle part
© Didier Frouin-Guillery, 2007-2017
 







dimanche 8 octobre 2017

Les yeux de verre





 
 
Les yeux de verre, diptyque photo,
extrait de la série DiAgonales,
© Didier Frouin-Guillery - Adrien Frouin, 2017
 




Les chinois voient l'heure dans l'œil des chats. (Charles Baudelaire)







jeudi 5 octobre 2017

La lutte





 
 La lutte, diptyque photo,
© Didier Frouin-Guillery, 2017
 

 

 
En vain ai-je lutté. Rien n'y fait. Je ne puis réprimer mes sentiments. Laissez-moi vous dire l'ardeur avec laquelle je vous admire et je vous aime.
 
Jane Austen, Orgueil et préjugés
 
 
 
 
 

mardi 3 octobre 2017

Un petit matin d'éternité






Un petit matin d’éternité, triptyque photo,
© Didier Frouin-Guillery, 2017
 




Ce matin-là, tu es parti à l’aube jeter tes lignes et relever tes casiers. Ton vieux dériveur, un quat’vingt des années 60, te servait de bateau de pêche jusqu’à ce que tu construises un bon grand bateau en bois ; alors tous ces matins-là, tu descendais la cale de Larvor avec ton annexe pour rejoindre ton Pen Glaz, le fièrement bien nommé.

 
Ce matin-là, tu as retrouvé ton jeune chat siamois tout noir et tout luisant ; la nuit, il avait exploré la cale et plongé dans un seau de goudron abandonné par un pêcheur. Tu l’as sauvé en dégraissant patiemment son poil, ses yeux et ses oreilles, avec du beurre.

Ces matins-là, ton chat te suivait et sautait dans le bateau pour accompagner ta partie de pêche. Il revenait toujours assis à l’avant du bateau, tel une figure de proue ; il était aussi prêt à sauter dans l’eau pour revenir plus vite à terre quand il nous apercevait sur la plage.

Ce matin-là, alors que depuis trop longtemps tu étais égaré dans les brouillards de ta mémoire, tu as pris une dernière fois le Pen Glaz et tu as trouvé une mer de ciel sans brume et sans nuages pour nous quitter dans un dernier souffle…

 
 


 
 
Au banjo, Marcel,
mon (beau-)père de cœur...
20 janvier 1925 – 20 septembre 2017