Perle rare

Perle rare, triptyque photo

© Didier Frouin-Guillery, 2018

 

Débouler

Débouler, diptyque photo,

extrait de la série DiAgonales

© Didier Frouin-Guillery - Adrien Frouin, 2018

 

 

“Ça s'écroule, ça débouline !” Céline, Mort à crédit, 1936.

 

 

 

 

Les détails de l'histoire

Les détails de l’histoire, triptyque photo

© Didier Frouin-Guillery, 2018
 

Alors qu’est-ce que tu viens faire dans cette galère ? Qu’est-ce que tu veux nous dire, encore ? On a tout interprété du tableau, même ce qu’on n’y voit pas. On sait tout ce qu’on peut en savoir.

 

Daniel Arasse, On n’y voit rien. Descriptions, éditions Denoël, 2000

Gauguin off

J’ai fait quelques flèches,

assemblage et photographie,

exposition Gauguin off, Quimper

© Didier Frouin-Guillery, 2003-2018

 

J’ai fait quelques flèches, et je m’exerce sur le sable à les lancer comme Buffalo Bill. (P. Go et Co)

 

Gauguin, Lettres, Le Pouldu, août 1890



A pleines mains

 

 

A pleines mains, dessin à l’encre
© Didier Frouin-Guillery, 2018

 

Rien à déclarer

Rien à déclarer, triptyque photo,

© Didier Frouin-Guillery

Œuvre d’Hervé Fisher sur le parvis du Centre Pompidou

Exposition Hervé Fisher et l’art sociologique, Paris, 2017

Œil pour œil

Œil pour œil, triptyque photo

© Didier Frouin-Guillery, 2018

 

 

Le grand courage, c'est encore de tenir les yeux ouverts sur la lumière comme sur la mort.

 

Albert Camus, L’Envers et l’Endroit, éditions Gallimard, Paris, 1937

Poissons volants

Poissons volants, diptyque photo,

extrait de la série DiAgonales

© Adrien Frouin - Didier Frouin-Guillery, 2018
 

“N. B. - Ces bouches ne peuvent parler que dans le présent (au-dessus des eaux), et ne peuvent parler que du souvenir (de sous les eaux). Elles n’en parlent donc qu’à l’imparfait, ou imparfaitement."

Francis Ponge, L’Imparfait ou les poissons-volants, recueil Proêmes, éditions Gallimard, Paris, 1948

Lignes d'horizon

Lignes d’horizon, triptyque photo 

© Didier Frouin-Guillery, 2018



La ligne d’horizon géométrique, qui correspond à notre œil de spectateur, est extrêmement proche du niveau de l’œil des figures peintes, mais il est toujours un peu plus bas. Nous sommes donc au plus près de la figure peinte, mais nous sommes très légèrement décalés par rapport à elle, donc nous sommes tout près de son regard mais nous ne le partageons pas.

Daniel Arasse, Vermeer fin et flou, dans Histoires de peintures, éditions Denoël, 2004.



Résonance

à Jean-François Rospape

Résonance, triptyque photo,

© Didier Frouin-Guillery, 2018
 



 

 

C’est de voir qu’il s’agit, Robert Delpire,

éditions Delpire, juin 2017