jeudi 25 janvier 2018

Gladiator

à Bernard F. et René G. mes deux pères





Gladiator, triptyque photo,
extrait de la série Arles
© Didier Frouin-Guillery, 2011-2017
 




« J'ai cherché sur les visages des dieux... les moyens de te plaire, de te rendre fier. Un seul mot tendre, une seule étreinte où tu m'aurais pressé contre ton cœur et serré très fort aurait été comme un soleil dans mon cœur pour des siècles et des siècles. »
Extrait du film Gladiator de Ridley Scott (2000). Paroles de Commode à son père, l'empereur Marc Aurèle...
 

 

 

samedi 20 janvier 2018

Blanch'heures






Blanch'heures, triptyque photo,
© Didier Frouin-Guillery, 2011-2017
 




A mon avis, vous ne pouvez pas dire que vous avez vu quelque chose à fond si vous n'en avez pas pris une photographie. (Emile Zola)






lundi 15 janvier 2018

Fenêtres sur cour






Fenêtres sur cour, triptyque photo,
© Didier Frouin-Guillery, 2018
 

 

Une image vaut-elle mille mots ?
 
 
 
 
 

mercredi 10 janvier 2018

Dépositions






Dépositions, triptyque photo,
© Didier Frouin-Guillery, 2011-2017
 


La pose n’impose plus la pause…





Détail d’une photo de Louis Daguerre,
Boulevard du Temple, 1837
 

Louis Daguerre a fait correspondre la pause du passant arrêté devant un cireur de chaussures avec la pause du temps nécessaire à l’impression de la lumière sur sa plaque photographique.
 
 
 
 
 

vendredi 5 janvier 2018

Mettre les voiles






Mettre les voiles, diptyque photo,
extrait de la série DiAgonales
© Didier Frouin-Guillery - Adrien Frouin, 2018
 


Toutes voiles dehors…





lundi 1 janvier 2018

Doubles voeux






And, triptyque photo, 
© Didier Frouin-Guillery, 2018
 


Et j'œux d'enfance…



Carte scolaire de vœux, 1962
Ecole publique de Garçons, Champlan
 © DFG, 2018
 





mercredi 27 décembre 2017

L'appeau des choses







L'appeau des choses, diptyque photo,
© Didier Frouin-Guillery, 2017
 


 
 
La peau des choses est tendue vers la lumière jusqu’à l’extrême. Des mots sont prêts à percer sous cette enveloppe. Des appeaux ont brisé le silence, ils scintillent à nos pieds. Que reste-t-il d’obscurité quand on soulève le drap de la mémoire ?

D. F-G.






vendredi 22 décembre 2017

Sans quitter sa place






Sans quitter sa place, triptyque photo,
extrait de la série Arles
© Didier Frouin-Guillery, 2017
 



Lever les yeux, se regarder les yeux dans les yeux, baisser les yeux…
 
 
 
 


 

lundi 18 décembre 2017

Acqua alta






Acqua alta, triptyque photo,
extrait de la série Venise
© Didier Frouin-Guillery, juin 2017
 


 
Le flot montant des poissons visés par les goélands, depuis leur perchoir, est celui des touristes piégés en bas dans la nasse géante de la Place Saint-Marc…






Sur une place, à Paris, Bordeaux ou Milan
© DFG, 2017
 




Après les Non-lieux théorisés par l’anthropologue Marc Augé en 1992, Michel Lussault développe la question des hyper-lieux dans son ouvrage Hyper-lieux, Les nouvelles géographies de la mondialisation, éditions du Seuil, Paris, 2017. Venise est un des exemples du phénomène que traite ce géographe, à côté d’autres villes comme Dubaï, New York ou Paris, avec leurs places célèbres, et d'autres lieux, gares, aéroports, lieux culturels et commerciaux... Sans doute ne serait-il pas d’accord avec la métaphore du piège que j'évoque ici…


 
 
 

 

jeudi 14 décembre 2017

Last dream






Rêver, dessin numérique,
série des Nulle part
© Didier Frouin-Guillery, 2007-2017
 


Dernière page de la série des Nulle part… 

Les cinquante quatre images publiées dans ce cadre ont été extraites d’un ensemble d’une centaine de dessins conçu et réalisé à l’origine pour le concours du 1% artistique de la Maison de l’enfance du Pays Glazik, construite à Briec (Finistère) par l’architecte Michel Grignou. Les deux autres artistes sélectionnés pour ce concours ont été Mathilde Kerdilès et Hervé Le Nost. 

Commencée en mars 2017 avec Y a-t-il un juste milieu, où se trouve enfermé un curieux et aventureux personnage, cette histoire de Nulle part, pas toujours enfantine, se termine aujourd’hui par sa mise en sommeil et son échappée belle. 

La déclinaison des légendes de Nulle part est issue de la mise en boîte Nulle part est un émoi (Emoi, octobre 2017). Cette phrase, associée à l’édition d’un multiple, a rebondi un jour par hasard sur un de ces dessins, les autres ont suivi, avec régularité et insistance, sans que je sache ni comment ni pourquoi…