mardi 31 juillet 2018

Arborescence







Arborescence, diptyque photo,
extrait de la série DiAgonales
© Adrien Frouin - Didier Frouin-Guillery, 2018




Cette nouvelle DiAgonale fait suite aux 32 premiers diptyques
de cette série présentés au printemps à L’Imagerie dans l’exposition.
Serial collector (chapitre 8)








lundi 16 juillet 2018

Je vous aime






Je vous aime, triptyque photo,
extrait de la série Arles
© Didier Frouin-Guillery, 2018
 








mercredi 11 juillet 2018

Bille en tête






Bille en tête, triptyque photo,
extrait de la série Arles
© Didier Frouin-Guillery, 2018
 



La Photographie à Arles
 
Du 2 juillet au 23 septembre 2018 – 36 expositions
 
Du 2 juillet au 23 septembre 2018 – 173 expositions
 
 
 
 
 

 

dimanche 24 juin 2018

Apparition







Apparition, triptyque photo
© Didier Frouin-Guillery, 2018
 



 
"La vie c’est quand même plus confortable que d’être mort…"
Suzanne (4 ans et demi)







lundi 18 juin 2018

samedi 9 juin 2018

Serial collector - Le générique de fin






L’Imagerie © Didier Frouin-Guillery, 2018



Fin de l’exposition SERIAL COLLECTOR


Didier Frouin-Guillery remercie tout particulièrement

- Son partenaire et complice privilégié en photographie, son fils Adrien, avec qui il poursuit une correspondance photographique.
- Ses ami-e-s qui l’ont assisté à l’atelier dans la préparation de l’exposition : Michèle Duloutre, Dominique Labory, Marie-Hélène Maguet-Chiozzotto, Régine Rocuet, Patrick Evanno et Jean-Paul Mathelier.
- Frédérique Aguillon et Jean-Jacques Banide pour la réalisation de l’ensemble des tirages exposés ; et Frédérique pour sa participation à la semaine de montage à la galerie.

- Solenn Rousseau directrice artistique de l’association Gros Plan et du cinéma Quai Dupleix à Quimper, pour sa complicité en images.
- Le Musée départemental breton du Finistère,  Jean-Pierre Gonidec et Serge Goarin pour ses prises de vue d’images et d’objets en studio.
- Chantal et Gilbert Samson de l’entreprise Quimper Enseigne partenaire et soutien de l’artiste depuis 2003.
- Jean-François Rospape et toute l’équipe de L’Imagerie pour leur accueil chaleureux, leur grand soutien et leur tout aussi grande patience : Joëlle André, Martine Desplanques, Florence Doutriaux, Monique Loarec, Daniel Collobert, Jean-Marc Dellac, Daniel Hamon, Antoine Leblond, Michel Zapater, et Armand qui, entre deux cours au collège, a participé au dessin des objets noirs ; remerciements aussi à Alan L’Estimé, sollicité par L’Imagerie pour la réalisation de l’entretien vidéo.

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Et maintenant, à L’Imagerie, place aux 40èmes Estivales photographiques du Trégor avec 48 photographes et plus de 120 photographies.

Un hommage à la photographie et à tous les photographes accueillis à la galerie ; un hommage aussi à la passion et à la fidélité des bénévoles et de l’équipe qui ont accompagné l’aventure de L’Imagerie pendant ces 40 années.

Du 23 juin au 29 septembre 2018.





vendredi 8 juin 2018

SC - Le kaléidoscope







SERIAL COLLECTOR - L’Imagerie
Le kaléidoscope des détails
 



ATELIER

"Choisir en pensée des lieux distincts, se former des images des choses qu'on veut retenir, puis ranger ces images dans les divers lieux. Alors l'ordre des lieux conserve l'ordre des choses ; les images rappellent les choses elles-mêmes."
Cicéron


ARTISTE

"Et il n'est pas encore suffisant d'avoir des souvenirs. Il faut pouvoir les oublier, quand ils sont nombreux, et il faut avoir la grande patience d'attendre qu'ils reviennent. Car les souvenirs ne sont pas encore ce qu'il faut. Il faut d'abord qu'ils se confondent avec notre sang, avec notre regard, avec notre geste, il faut qu'ils perdent leurs noms."
Rainer Maria Rilke

 
DEMARCHE

"Comment parler de ces choses communes, comment les traquer plutôt, comment les débusquer, les arracher à la gangue dans laquelle elles restent engluées, comment leur donner un sens, une langue : qu'elles parlent enfin de ce qui est, de ce que nous sommes (...).
Il m'importe peu que ces questions soient, ici, fragmentaires, à peine indicatives d'une méthode, tout au plus d'un projet. Il m'importe beaucoup qu'elles semblent triviales et futiles : c'est précisément ce qui les rend tout aussi, sinon plus, essentielles que tant d'autres au travers desquelles nous avons vainement tenté de capter notre vérité."
Georges Perec

 
TRACE

"Je crois qu'il y a un sentiment familier de la poésie que j'appelle le sentiment des touristes qui vont chercher très loin la poésie. Et la poésie qu'ils trouvent, ils la connaissent d'avance. Il s'agit d'une poésie familière donnée par des choses très étrangères. Alors que le familier, lui, peut être l'occasion de découvrir la poésie qui n'est pas familière, la poésie inconnue."
René Magritte

 
CARTE

"L'exotisme essentiel est celui de l'Objet pour le sujet."
Victor Segalen

 
PHOTOGRAPHIE

"Une photographie est un secret sur un secret. Plus elle vous en dit, moins vous en savez."
Diane Arbus
 
 
 
 
 
 

dimanche 3 juin 2018

SC - La visite (12/12) - L'entretien vidéo






SERIAL COLLECTOR – Filmage de l’entretien
par Alan L’Estimé, vidéaste et réalisateur
© D. Collobert - F. Aguillon - L’Imagerie, 2018


Lecture avec l’artiste de 7 des 11 chapitres
qui composent l’exposition (vidéo 13 min).


Serial collector condense symboliquement trois lieux : la galerie d’art, le musée personnel, et le “cabinet de curiosités”. Tel un grand livre d'images, l'exposition développe onze chapitres qui tracent dans l’espace une arborescence liant passé et histoire contemporaine. Elle met aussi en correspondance plusieurs étapes du parcours de l’artiste ces vingt-cinq dernières années, et combine plusieurs de ses moyens d’expression : la photographie, le dessin, l’assemblage, le collage, la vidéo.






L’Imagerie © Didier Frouin-Guillery, 2018


Fin de la visite virtuelle de SERIAL COLLECTOR, avec cette photographie de l’intérieur d'une sculpture-tronc, cœur “arborescent” de l’exposition présent au chapitre 6 (Des yeux et des regards).




L'exposition se termine samedi 9 juin 2018.
L’artiste sera présent à L'Imagerie 
ce dernier jour, de 15h à 18h30.


  


jeudi 31 mai 2018

SC - La visite (11) Dernier chapitre

11. Un cabinet de dessins






Exposition SERIAL COLLECTOR
L’Imagerie © Didier Frouin-Guillery, 2018
 


Une peinture en couleurs et un ensemble de dessins réalisés d’un seul jet, au marqueur noir, constituent le témoignage d’une pratique de 40 années de dessin improvisé ou “automatique”. Ces dessins ne sont pas sans lien avec la forme projetée par les objets noirs sur le mur d’entrée de l’exposition.




 
Sur l’autre mur de ce cabinet sont déroulés des extraits de maquettes des deux projets de 1% artistique réalisés par Didier Frouin-Guillery ces dernières années. Ces réalisations sont installées de façon définitive et pérenne à la Réserve départementale des musées du Finistère à Quimper, et à l’Ecole publique du Pilier Rouge à Brest.




 
D’une certaine manière, les trois grandes figures en papier noir au-dessus clôturent l’exposition. Elles sont dérivées des trois caractères chinois signifiant le mot ART.





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Les “invités” de l’artiste :

-      Animaux rayonnés, tableau d’histoire naturelle, Emile Deyrolle, Paris, années 20
-      Le Tromphal rayé, extrait de La Faune de Mars, Mœbius, 2006 - Page du Guide des enfants de l’exposition Mœbius-Transe-Forme, Fondation Cartier, Paris, 2010
-      Cartes d’expositions, Guillaume Pinard, Roland Topor, Galerie Anne Barrault, Paris





Extraits de publication des livres et des images
de l’artiste sous les éditions singulier, multiple
Exposition SERIAL COLLECTOR
L’Imagerie © Didier Frouin-Guillery, 2018
 





mercredi 30 mai 2018

SC - La visite (10)

10. Du déplacement et des voyages





Exposition SERIAL COLLECTOR
L’Imagerie © Didier Frouin-Guillery, 2018
 


Six triptyques, ici consacrées à Arles et à Venise, composent un mur purement photographique.




Sur le mur contigu, sont dispersés des échantillons de collections d’images, d’objets et de photos familiales, ayant tous voyagé dans l’espace et le temps, du Maroc au Japon en passant par Madère. Ils entourent les deux derniers triptyques photographiques de l’exposition.

 



Des sacs de café sortis d’une collection du monde entier tapissent le mur voisin qui reçoit ici le dernier vieux tableau scolaire Rossignol de l'exposition. Il met en scène deux éléphants dans un décor de jungle d’image d’Epinal.

 


C’est aussi la dernière étape de la figure de l’éléphant que l’on suit depuis le début de l’exposition : croqué dans la gravure flamande inspirée de Bosch au chapitre 3 ; poinçonné dans le poster rouge emprunté à l’artiste Félix González-Torres sur le mur des yeux (chapitre 6) ; et objet touristique empêtré dans un amas de lianes VHS dans l’espace de l’enfance et de la famille (chapitre 5).

 



Sept sculptures ponctuent les principaux chapitres de ce grand livre d’histoires. Dans cet espace du voyage, une ville archéologique imaginaire, posée sur un grand socle blanc, vient clore le parcours de ces assemblages.
 
Elle s’apparente à une ville africaine aux constructions de terre. Mais elle fait plus certainement référence à la capitale inca de Cuzco, ville dont la rigoureuse ordonnance carrée et symétrique s’organisait selon les quatre points cardinaux. Ce dernier assemblage nous renvoie à l’histoire péruvienne qui est en jeu au premier chapitre de l’exposition.



 
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Les “invités” de l’artiste :
 
-      Pérou-Maroc-Touriste en bateau, patron de peinture (années 1950)
-      Carte de vœux, collage sur papier Japon, Vera Székely, sculpteur, Janvry, 1994
-      Géoglyphe du Pérou, dit Ligne de Nazca
-      MAROC, aquarelle de couverture , Berthommé Saint-André – auteur J.-L. Miège, éditions B. Arthaud, Paris, 1952
-      Noa Noa voyage de Tahiti, photographie de l’artiste dans l’exposition Gauguin l’Alchimiste, Grand Palais - Galeries nationales, Paris, 2017
-      Planisphère Colonies françaises, carte n°22 bis, Paul Vidal de Lablache, Librairie Armand Colin, Paris, 1948
-      Pneu Vélo, plaque publicitaire métallique Dunlop, années 1950
-      La Forêt vierge, tableau scolaire d’élocution n°45, éditions André Rossignol, Montmorillon, 1953